terça-feira, 27 de abril de 2010

Assez de calomnies. Un mauvais coup contre le Motu Proprio Summorum Pontificum

 
Publié le 27 avril 2010
par Le secretaire

Devant l’odieuse manipulation dont sont victimes l’Institut du Bon Pasteur et le Cours Saint-Projet de Bordeaux, SENSUS FIDEI tient à dénoncer avec la plus grande fermeté les méthodes détestables qui ont été utilisées par des « journalistes » se réclamant du service public de l’audiovisuel, et s’élève contre la manière caricaturale dont une école privée hors contrat est présentée. SENSUS FIDEI espère que de tels actes inqualifiables seront sanctionnés comme il se doit.
SENSUS FIDEI note que cette attaque ignoble contre un institut traditionaliste de droit pontifical, intervient à un moment où l’Église Catholique et tout spécialement le Saint-Père font l’objet d’une campagne médiatique sans précédent visant à caricaturer les positions traditionnelles de l’Église en faisant des amalgames douteux avec des pratiques isolées par ailleurs tout à fait condamnables.
SENSUS FIDEI, association des laïcs catholiques de tradition, réaffirme hautement son soutien sans faille au Pape Benoît XVI, et lui exprime toute sa gratitude pour l’action qu’il mène inlassablement en faveur de la vérité, au mépris des modes passagères.
SENSUS FIDEI renouvelle toute sa confiance en l’Institut du Bon Pasteur et son Supérieur Général, et assure ce dernier de toute sa coopération dans l’action qu’il mène depuis la création de l’Institut en faveur de l’établissement de paroisses personnelles de rite propre, telles que Saint-Eloi à Bordeaux, de la critique constructive du Concile Vatican II, notamment grâce au site Disputationes Theologicae, et de la formation des prêtres, dont l’Église a tant besoin, dans le cadre du séminaire Saint-Vincent de Paul de Courtalain.

Un mauvais coup contre le Motu Proprio Summorum Pontificum

Publié le 4 janvier 2010
par Le secretaire

SENSUS FIDEI a appris avec consternation que Mgr Nourrichard, Évêque d’Évreux, a pris, dans la torpeur de la période de Noël, la décision de révoquer l’abbé Francis Michel de sa charge de curé de Thiberville et de rattacher cette paroisse de 14 clochers à une autre paroisse du diocèse. Une telle décision, que rien ne semble justifier compte tenu du zèle inlassable déployé depuis plus de vingt ans par l’abbé Michel pour maintenir et développer la communauté catholique la plus vivante et la plus missionnaire du diocèse d’Évreux, apparaît d’autant plus choquante qu’elle semble aller totalement à l’encontre de la volonté exprimée par le Pape dans son Motu Proprio Summorum Pontificum de donner aux deux formes du rite romain la même dignité. Le tort de l’abbé Michel serait il donc d’avoir démontré depuis de longues années, contrairement aux discours officiels de la hiérarchie de l’Église de France, que non seulement les deux formes du rite romain peuvent coexister pacifiquement dans une même paroisse à la plus grande satisfaction des fidèles, mais aussi que l’existence d’une telle paroisse est un démenti cinglant aux errements conciliaires qui ont transformé une terre jadis chrétienne en désert ?
SENSUS FIDEI est à la fois attristé et effrayé de constater que l’Évêque d’Évreux puisse ainsi, sans doute à cause de l’idéologie du funeste esprit du Concile, supprimer d’un trait de plume une paroisse exemplaire, sans se soucier du désarroi des fidèles qui vont se trouver privés de la riche vie spirituelle dont ils pouvaient jouir jusqu’à présent. Quelle ironie de constater que cette injuste décision sanctionnant un prêtre zélé intervienne pendant l’année sacerdotale décrétée par Benoît XVI, à coup sur le Saint Curé d’Ars n’aurait pas lui non plus trouvé grâce auprès d’un tel Évêque !
SENSUS FIDEI tient à manifester son soutien à l’abbé Michel et en appelle au Saint- Père pour que cessent ces actes d’auto-démolition de l’Église, et les persécutions dont sont victimes les prêtres attachés à la Tradition de l’Église, et pour qu’au contraire soient encouragées toutes les oeuvres visant à réaffirmer la Royauté Sociale de NSJC dans un monde de plus en plus déchristianisé.

fonte:sensus fidei